Bonjour,
L’enfer, c’est les autres ( ?)
On peut entendre ici Sartre s’expliquer sur « L’enfer, c’est les autres » (durée 5 mn)
Sartre en bon militant athéiste qu'il est, détrône l’enfer du ciel pour le ramener sur terre, il n’est pas l’éternité d’une punition mais "seulement" ce que l'on se crée ici bas.
Il est la rencontre avec l’autre qu’on ne peut atteindre sans déchirer la gangue de son égo.
L’enfer est dans cette résistance à soi-même et la difficile ouverture vers autrui, vers le monde tel qu’il se donne à voir.
A vrai dire, l’expression est certainement dépassée aujourd’hui mais les difficultés pour construire le monde à venir ou simplement, pour penser les problèmes, définir des priorités… ne sont en fait envisagés par aucun gouvernement ou grand intellectuel.
Quand l'ambiance est inquiète, chacun se préoccupe avant tout de sa sauvegarde.
Au niveau de notre débat, peut-être faudrait-il seulement distinguer les problèmes avec soi-même et ceux du vivre avec les autres ?
Comment se vivre sans se nuire, ni s'anéantir, ni en reportant sur autrui (les proches et lointains) notre mal à vivre, notre déconstruit intime ?
L’enfer, c’est les autres ( ?)
On peut entendre ici Sartre s’expliquer sur « L’enfer, c’est les autres » (durée 5 mn)
Sartre en bon militant athéiste qu'il est, détrône l’enfer du ciel pour le ramener sur terre, il n’est pas l’éternité d’une punition mais "seulement" ce que l'on se crée ici bas.
Il est la rencontre avec l’autre qu’on ne peut atteindre sans déchirer la gangue de son égo.
L’enfer est dans cette résistance à soi-même et la difficile ouverture vers autrui, vers le monde tel qu’il se donne à voir.
A vrai dire, l’expression est certainement dépassée aujourd’hui mais les difficultés pour construire le monde à venir ou simplement, pour penser les problèmes, définir des priorités… ne sont en fait envisagés par aucun gouvernement ou grand intellectuel.
Quand l'ambiance est inquiète, chacun se préoccupe avant tout de sa sauvegarde.
Au niveau de notre débat, peut-être faudrait-il seulement distinguer les problèmes avec soi-même et ceux du vivre avec les autres ?
Comment se vivre sans se nuire, ni s'anéantir, ni en reportant sur autrui (les proches et lointains) notre mal à vivre, notre déconstruit intime ?