" si le plaisir est denrée périssable, le bonheur, lui ne s'achète pas, il se mérite.

Cette citation de Charles Péguy m'a toujours fait réfléchir.

Le bonheur, dans la société actuelle, aurait il une valeur marchande?
Les notions de plaisir et de bonheur seraient elles soumises à une échelle de valeurs propre à chaque individualité ?

Bonjour tout le monde,

"Si le plaisir est denrée périssable, le bonheur, lui ne s'achète pas, il se mérite."

Merci Ganeh pour cette citation et vos questions. Puis-je les reprendre ainsi sans déformer votre pensée ?
Le bonheur se vend-t-il ?
Le bonheur détient-il une valeur que le plaisir n'a pas ?
Bonheur et plaisir sont-ils antinomiques ?
De quoi l'un et l'autre relèvent-ils ?


Ensuite, je reviendrai sur la citation elle-même. Merci de votre réponse, si vous consultez ce forum régulièrement.

Reprenons cette question de Ganesh :
Le bonheur, dans la société actuelle, aurait il une valeur marchande?

Admettons que pour certains d'entre nous, le bonheur soit associé à notre pouvoir d'achat. Quel serait le problème ?
Le bonheur se trouverait assujetti au facteur "argent" ? Cette condition est-elle acceptable comme condition de vie ?
Mais par ailleurs, sans pouvoir d'achat, nous est-il possible d'être heureux et par conséquent, d'accéder à quelque bonheur ?
Quel est le problème ?